lundi 30 novembre 2015

Wellington

Ca n'a pas été facile d'arriver à Wellington,  la capitale la plus éloignée de Paris.
Nous avons été retardés par un énorme troupeau de moutons qui nous a rappelé que nous étions bien en NZ.


Cette ville est petite pour une capitale, tranquille et en même temps dynamique et branchée notamment autour de Cuba street où nous logions.

Nous avons flâné, pris le "cable car" qui emmène du centre ville en haut du jardin botanique.



Les maisons historiques de Wellington

Mais l'incontournable de Wellington, c'est son musée TE PAPA qui synthétise les spécificités de la NZ, sa situation géographique et géologique (volcans et tremblements de terre), le mélange de la culture maoris et de celle des migrants, sa très jeune  histoire et son ouverture sur toutes les différences.

Au sein de ce musée que nous avons beaucoup aimé, un maraé (maison traditionnelle) est disponible pour des cérémonies maories.


Enfin, Wellington est la ville du ferry pour l'ile du sud.

Tongariro - les volcans et la neige

Le parc national de Tongariro abrite plusieurs volcans encore actifs.
On y vient pour une célèbre randonnée d'une journée (7 h) de 17 km qui traverse le parc, la Tongariro Alpine crossing.
On y vient aussi faire du  ski sur les pentes du volcan Ruapehu.
Nous n'avions qu'une seule journée, et c'était trop juste pour la big one. Nous avons quand même fait de belles balades.
Celle du matin vers des cascades sous un superbe soleil.
Panorama sur la station de ski
Le cône parfait du volcan Ngauruhoe

L'après midi nous avons pris le télésiège pour toucher la neige. Il faisait moins chaud.



La géothermie

Au centre de l’ile du nord, autour de Rotorua, plusieurs sites présentent une activité géothermique débordante (geyser, lac d’eau soufrée, rivières et mares de boue  bouillonnante) .

Nous avons commencé le soir de notre arrivée par nous délasser dans des piscines d’eau naturellement chaude et souffrée dont la  température varie de 38 à 42°.
 

 

Le lendemain nous nous sommes promenés dans le parc de Waimangu, qui est le plus jeune endroit géothermique de la terre. Il s’est formé à la suite d’une éruption en 1886.




Puis, comme nous avons bien aimé les piscines d’eau chaudes et que la météo était au beau fixe, nous en avons essayé d’autres en pleine campagne à Waikité alimentées par une rivière d’eau à
66 °.


 


Enfin, en quittant Rotorua, nous avons visité le parc de Wai-o-tapu et son célèbre geyser, il parait  le plus haut du monde,  qui est provoqué chaque matin à 10h15 par du savon jeté dans la colonne d’où jaillit l’eau.

 

Un autre phénomène exceptionnel de ce parc est une étendue d’eau bouillonnante avec au bord des dépôts oranges de manganèse, surnommée la Champagne pool à cause des bulles.
 
 
 
Au prochain épisode : la neige et le volcan.
 

dimanche 29 novembre 2015

La péninsule de Coromandel

Après une courte interruption de nos émissions car nous étions dans la montagne, nous voici de nouveau..

A l’est d’Auckland, nous avons remonté la péninsule de Coromandel avec deux incontournables, la hot water beach de Hahei et Cathedral Cove .

Donc, nous sommes d’abord allés voir les sources d’eau chaude qui permettent après avoir creusé ,  de se délasser dans  son spa perso. Mais il faut creuser au bon endroit. Un italien était toujours bredouille après avoir creusé 10 trous pour son italienne.
téphane n’a pas creusé.
 

Cathedral cove est une magnifique plage à laquelle on accède après une belle balade d’une petite heure. Ceux qui ont vu le Monde de Narnia reconnaitrons.
 

Et avec le soleil,   Stéphane  a repris les baignades.



mercredi 25 novembre 2015

Karekare

Tout d'abord quelques mots sur l'organisation car certains se sont interrogés.
Nnous avons un itinéraire déjà fixé et nos hébergements sont réservés soit dans des petits hôtels soit dans des B&B où pour l'instant nous avons été accueillis avec beaucoup d'attentions.

Pour les déplacements, une Toyota corolla nous permet d'aller sur tous types de route car déjà deux fois nous avons suivi des routes de montagnes qui n'étaient pas bitumées.

Nous avons ainsi descendus la cote ouest vers le sud pour revenir au niveau d'Auckland.
Cette étape etait prevue pour aller voir les plages de sable noir, la plus célèbre etant celle de Karekare de la "lecon de piano".  Nous avions oublie l'appareil photo alors en voici  deux pas terribles  prises avec l'ipad.

Karekare -la grande de la leçon de piano

plage de Piha


dimanche 22 novembre 2015

Le Northland - Hokianga

Nous avons traversé le Northland vers la côte ouest à la découverte des Kauris, résineux géants, très importants dans la culture maoris. A hokianga, dans la foret de Wapoua,  se trouve les plus anciens de la NZ.  Leur  âge est estimé à environ 2 000 ans.

Pour faire court, cet arbre a été très menacé par une exploitation intensive de sa résine et de son bois pour être ensuite  protégé dans les années 50. Aujourd'hui son problème est un champignon. le nettoyage des chaussures est donc obligatoire pour les voir.

Le temps n'était pas au beau fixe mais a quand même permis une balade dans la foret au crépuscule guidés par des chants et  légendes maoris.
 
Te Matua Ngahere, le père de la foret, 30 m
Tane Matua, le seigneur de la foret, 51 m

jeudi 19 novembre 2015

le Nortland - Paihia

Nous avons oublié de mettre une petite carte de la NZ.
En voici une pour situer Auckland où nous avons atterri et tout en haut  le Northland, le début de notre périple.
Paihia est à 200 km en dessous du North Cape, c'est un lieu de vacances très prisé avec une baie qui abritent de belles plages et plus d'une centaine de petites iles.



Pluies et soleil ont alterné.
Nous avons cassé la tirelire et pris un petit avion pour rejoindre le cap Reinga juste à coté du cap nord en survolant des endroits isolés et sauvages. Si au départ, l'aérodrome était orthodoxe,  la piste à l'arrivée était un champ. Tout c'est quand même bien passé sauf pour Brigitte qui a été un peu barbouillée.


C'était magnifique.


 
 
 
 
 
A Watangui, tout à coté de Paihia, a été signé en 1840, un traité entre les  anglais et l'ensemble des chefs maoris qui est considéré comme un des actes fondateurs de la NZ. Un musée y est dédié avec des explications dans les deux langues.
 
Le lieu de signature est matérialisé aujourd'hui par un drapeau qui flotte devant la baie des iles.
 
 
 
 
 
 

 
 



mardi 17 novembre 2015

Auckland


A Auckland, la météo que nous attendions était au rendez vous. les 4 saisons dans la journée.
mais même sous la pluie, nous l'avons bien aimé.
Sa baie est remarquable et sous la pluie, le pont se fait discret. (on a pas mieux comme photo de la baie)


Compte tenu des conditions météo, nous sommes allés au musée d'art moderne.
Sa bâtisse rénovée en 2011 est magnifique.
Sur les collections, les guides nous promettent Picasso et Matisse mais si nous avons tout compris aux explications,  les Picasso sont à venir et les Matisse sont en goguette.
on ne leur en a pas voulu,  il est gratuit.


Enfin, l'été et  Noel approchent. Ils ne sont pas en retard pour les décos des rues. celle-ci est un peu kitch mais de belle taille. Ne ratez pas les rênes sur les cotés.





dimanche 15 novembre 2015

Arrivée en Nouvelle Zelande

A Auckland, la Sky Tower, le plus haut édifice de l'hémisphère sud, était aux couleurs de la France et cela nous a fait chaud au cœur.

On pense à vous tous

vendredi 13 novembre 2015

les Blue Mountains

Pour notre dernier jour en Australie, nous sommes très attristés par les attentats parisiens.
On espère que la famille et les amis vont bien.

Nous étions dans les Blue Mountains, à 100 km de Sydney.
Voici quand même deux dernières photos d'Australie.


jeudi 12 novembre 2015

De plages en lacs


Sur la côte au sud de Sydney, plages, lacs et estuaires de rivières se succèdent  et parfois se confondent.
Les guides ne sont pas très bavards sur cette partie de l’Australie. Pourtant nous avons beaucoup aimé ses paysages.

Lake entrance :  où la plage est enserrée entre le lac et l'océan 


Marlo : la jolie surprise de l'estuaire de la Snowie River

Midlle Beach  : nous partageons la plage avec un couple de kangourous

 
Une des découvertes de cette région a aussi été le Mimosa Rocks national park où les mimosas sauvages étaient en fleurs et où nous avons déjeuné dans un restaurant gastronomique au milieu des vignes.




 Avant notre dernière étape australienne aux blue mountains, Stéphane s'est baigné à Seven miles beach... mais on a pas vérifié.

 

lundi 9 novembre 2015

Wilson promontory

C'est un des plus beaux parcs nationaux d'Australie. Des allures de bout du monde  et des bords de mer magnifique qui sont tellement prisés que pour la période de Noel (leurs vacances d'été) les places du camping public, bien qu'à des prix prohibitifs,  sont allouées par tirage au sort.

Nous y avons essuyé dans la soirée un coup de vent et de pluie à ne pas mettre un wombat dehors. Nous n'en avons donc pas vu alors qu'ils auraient dû essayé de nous piquer notre mangeaille.

Pas grave, juste avant, nous avons eu le temps de découvrir une des plus belles plages avec des  immenses rochers ronds en granit sur du sable blanc.





Le lendemain, sous la pluie, nous avons jeté un œil sur les plages contiguës de whisky Bayy et Picnic Bay.



Bon, ras le bol d'avoir froid, nous remontons vers le nord en direction de Sydney.

samedi 7 novembre 2015

Phillip Island

Pour arriver à Phillip island et  éviter de repasser par Melbourne, nous avons pris le ferry de Queenscliff à Sorento.
Nous avions prévu cette ile dans notre itinéraire  pour aller voir les " little penguins" qui, au crépuscule, reviennent nourrir leurs petits après une journée de pèche.
Au final nous avons plus aimé la plage et surtout notre emplacement de camping que le spectacle de pingouins. Jugé plutôt.
 
 
 
La parade des pingouins (c'est comme çà qu'ils l'appellent) ne sera pas en revanche un super souvenir.
 
Pourtant, c'est un moment extraordinaire, ils arrivent à 3 000  toujours sur la même plage quasi en même temps et se dispersent dans la lande pour retrouver leur nid. Ce jour là, il sont arrivés à 8 h 30 comme l'avait prévu le compte à rebours.
la plage vue des gradins
 
Seulement, il y a aussi presque 3 000 touristes qui arrivent très en avance et attendent sur la plage avec un vent de face hyper froid
 
 
 L'impression qui nous est restée est que les pingouins seraient bien moins stressés sans notre présence.
 
Pour éviter des flashs intempestifs, les photos étaient interdites alors voici celle d'un cousin que nous avions prise au zoo de Sydney.